Cas de Parkinson, cas compliqué qui était simple - exposition sommaire J'ai assez de patients sur ce compte Facebook que j'entre quand j'ai le temps d'écrire autre chose. Au bureau de l'institut, je traite 7 patients à la fois. Ils se souviennent probablement du cas d'un patient, un vieil homme atteint de la maladie de Parkinson. Au final, peu importe. Ce patient avait une main tremblante, une démarche lourde et un état dépressif sévère. A la première consultation il m'a dit qu'il avait aussi une douleur occipitale. Maladie de Parkinson, maladie grave, hypofonction locus niger et rubrum dans la production de dopamine. Qu'est-ce qui avait empêché la production de dopamine de secouer ses mains et ses lourdes jambes accrochées au sol ? Cas compliqué solution simple : céphalée occipitale. La zone occiput représente le passé, que nous ne pouvons pas oublier, que nous ne pouvons pas pardonner. La fille du danseur travaillait en privé et le patron de la danse avait pris sa carte d'identité pour faire un prêt au nom de l'employé, plus tard l'employeur n'a pas remboursé le prêt. La fille de mon patient a été obligée de payer le prêt consenti par l'employeur . C'est ainsi que la loi roumaine a décidé que c'était légal. Le père, comme tout vieux père, même s'il a été embauché comme veilleur de nuit pour gagner de l'argent pour payer le prêt à sa fille. Les médicaments allopathiques l'ont rendu somnolent et danser alors qu'un garde l'obligeait à rester éveillé la nuit. J'ai utilisé plusieurs points d'acupuncture mais le plus important était un point pour ne pas pouvoir pardonner. Qu'est-ce que j'ai obtenu ? J'ai seulement obtenu un soulagement de la dépression, des tremblements et de la démarche. Pourquoi n'ai-je pas réussi à guérir ? Car le père avait encore de nombreuses années pour payer la dette contractée illégalement par le patron de la fille, simple mais compliqué pour résoudre cette injustice de la justice.